La circulation routière est moins pénible à Montréal que dans 19 autres grandes villes du monde selon un sondage sur le trafic publié jeudi par IBM.
Montréal arrive en tête de liste pour la facilité à se déplacer en auto dans l'index établi par IBM qui comprend notamment le temps de déplacement et de congestion, le stress au volant et le prix de l'essence. Toronto arrive en 5e position, tandis que les grandes villes de pays moins développés se trouvent en queue de peloton, avec Mexico en derrière place. Au total, plus de 8000 personnes ont été sondées.
L'étude de IBM indique que 54 % des Montréalais croient que la congestion routière nuit à leur santé, contre 69 % en moyenne dans les 20 villes sondées, qui comprennent notamment Londres, New York et Paris.
Un Montréalais sur quatre estime que la congestion routière est néfaste pour son rendement au travail ou aux études, mais il peut se consoler puisque 86 % des Pékinois et 70 % des habitants de New Delhi en Inde font le même constat.
Les Montréalais ne sont pas seuls à croire que la situation empire sur les routes. Partout dans le monde, les automobilistes signalent un accroissement du stress et de la frustration reliés aux déplacements. Par contre, dans les économies émergentes, on a la perception que la circulation s'améliore, ce qui n'est pas le cas dans les grandes villes des pays plus développés.
Un peu moins de la moitié des Montréalais (45 %) consacreraient plus de temps à leurs familles et leurs amis s'ils pouvaient réduire les délais de transport, selon le sondage. Mais ce n'est rien comparativement à Moscou, où près d'un conducteur sur trois a déclaré avoir été bloqué dans un véhicule pendant plus de trois heures au moins une fois au cours des trois dernières années.
Montréal arrive en tête de liste pour la facilité à se déplacer en auto dans l'index établi par IBM qui comprend notamment le temps de déplacement et de congestion, le stress au volant et le prix de l'essence. Toronto arrive en 5e position, tandis que les grandes villes de pays moins développés se trouvent en queue de peloton, avec Mexico en derrière place. Au total, plus de 8000 personnes ont été sondées.
L'étude de IBM indique que 54 % des Montréalais croient que la congestion routière nuit à leur santé, contre 69 % en moyenne dans les 20 villes sondées, qui comprennent notamment Londres, New York et Paris.
Un Montréalais sur quatre estime que la congestion routière est néfaste pour son rendement au travail ou aux études, mais il peut se consoler puisque 86 % des Pékinois et 70 % des habitants de New Delhi en Inde font le même constat.
Les Montréalais ne sont pas seuls à croire que la situation empire sur les routes. Partout dans le monde, les automobilistes signalent un accroissement du stress et de la frustration reliés aux déplacements. Par contre, dans les économies émergentes, on a la perception que la circulation s'améliore, ce qui n'est pas le cas dans les grandes villes des pays plus développés.
Un peu moins de la moitié des Montréalais (45 %) consacreraient plus de temps à leurs familles et leurs amis s'ils pouvaient réduire les délais de transport, selon le sondage. Mais ce n'est rien comparativement à Moscou, où près d'un conducteur sur trois a déclaré avoir été bloqué dans un véhicule pendant plus de trois heures au moins une fois au cours des trois dernières années.
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