Dans une très courte allocution devant les députés et sénateurs conservateurs, le premier ministre Stephen Harper a souligné que l'économie mondiale était fragile, mais que le Canada s'en sortait bien; encore, dit-il, que des mesures de «flexibilité» seront peut-être nécessaires en cas d'aggravation de la situation.
En exprimant une préoccupation sinon une inquiétude face au contexte économique international, M. Harper faisait ainsi écho à la révision à la baisse des prévisions de croissance de l'OCDE et à un sondage de la Canadian Payroll Association qui révèle que 57% des salariés au Canada n'ont aucune marge de manœuvre et vivent d'un chèque de paie à l'autre.
C'est dans le cadre d'une réunion en vue de la reprise des travaux parlementaires le 19 septembre à la Chambre des communes (le 27 septembre dans le cas du Sénat) que le chef conservateur a pris la parole devant le caucus de son parti en lisant un texte.
Derrière des cordages et étroitement surveillés par des agents de la GRC en civil, les représentants des médias ont été admis dans la salle durant le bref discours de M. Harper qui a dit que la première priorité de son gouvernement était l'économie.
Le leader conservateur, qui n'a pas répondu à des questions des journalistes, a signalé à ses partisans que son gouvernement se concentrera sur la sécurité du système financier et la création d'emplois.
L'accès aux marchés étrangers pour les exportateurs canadiens, particulièrement celui des États-Unis, figure aussi à l'agenda conservateur dans lequel on note aussi un intérêt pour l'innovation et l'éducation supérieure.
Le premier ministre Harper a repris un slogan qui était la marque de commerce de l'ex-premier ministre libéral Jean Chrétien on professant que «le Canada est le meilleur pays du monde».
Un monde, a-t-il ajouté, qui est aux prises avec de profonds changements.
En exprimant une préoccupation sinon une inquiétude face au contexte économique international, M. Harper faisait ainsi écho à la révision à la baisse des prévisions de croissance de l'OCDE et à un sondage de la Canadian Payroll Association qui révèle que 57% des salariés au Canada n'ont aucune marge de manœuvre et vivent d'un chèque de paie à l'autre.
C'est dans le cadre d'une réunion en vue de la reprise des travaux parlementaires le 19 septembre à la Chambre des communes (le 27 septembre dans le cas du Sénat) que le chef conservateur a pris la parole devant le caucus de son parti en lisant un texte.
Derrière des cordages et étroitement surveillés par des agents de la GRC en civil, les représentants des médias ont été admis dans la salle durant le bref discours de M. Harper qui a dit que la première priorité de son gouvernement était l'économie.
Le leader conservateur, qui n'a pas répondu à des questions des journalistes, a signalé à ses partisans que son gouvernement se concentrera sur la sécurité du système financier et la création d'emplois.
L'accès aux marchés étrangers pour les exportateurs canadiens, particulièrement celui des États-Unis, figure aussi à l'agenda conservateur dans lequel on note aussi un intérêt pour l'innovation et l'éducation supérieure.
Le premier ministre Harper a repris un slogan qui était la marque de commerce de l'ex-premier ministre libéral Jean Chrétien on professant que «le Canada est le meilleur pays du monde».
Un monde, a-t-il ajouté, qui est aux prises avec de profonds changements.
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